- Formation de notre System Solaire. - Le détail des planètes se trouve sur une autre page; Notre Système solaire avec son étoile ...(Soleil) Notre Système solaire est composé, d'une "étoile" le Soleil. Par ordre de distance croissante à celui-ci, se trouve 4 planètes telluriques internes (Mercure, Vénus, la Terre et Mars), d'une ceinture d'astéroïdes composée de petits corps rocheux, et de 4 autres planètes, des géantes externes.
Il y a deux géantes gazeuses ce sont Jupiter et Saturne, et deux planètes
géantes de glaces que sont Uranus et Neptune) et de la ceinture de Kuiper,
composée elle-même d’objets glacés. L'héliopause, limite magnétique du Système
solaire, est définie par l'arrêt des vents solaires face au vent galactique.
Bien au-delà se trouve le nuage d'Oort, sphère d’objets épars. La limite
gravitationnelle du Système solaire se situe bien plus loin encore, jusqu'à 1 ou
2 années-lumière du Soleil.
La question n'est toujours pas tranchée, près de quarante ans après la première découverte du mystérieux radioélément dans les reliques de notre système. Certaines données venues des météorites peuvent nous faire penser que notre Soleil a peut-être vu le jour dans des circonstances particulières. Tout a démarré par des poussières d'étoiles disséminées dans une région de la Voie lactée. Une gigantesque nébuleuse qui, il y a 4,56 milliards d'années, s'est effondrée sur elle-même, formant un globe de plus en plus dense et chaud. Jusqu'à ce que, en son centre, la température franchisse le seuil des 15 millions de degrés, à partir duquel se déclenchent les réactions de fusion nucléaire. Le Soleil était né ! Le scénario actuel de formation des étoiles (et de notre soleil) de faible masse et de masse intermédiaire jusqu'à quelques masses solaires, soit la grande majorité des étoiles est schématiquement représenté sur la figure 1. Une nébuleuse se contracte gravitationnellement et se fragmente pour donner des cœurs protostellaires , fig 2. Dans ceux-ci, se forme au centre une étoile qui grossit par accrétion de la matière environnante; un disque d'accrétion et une enveloppe circumstellaire accompagnent cette étoile. L'accrétion est accompagnée d'éjection d'une partie significative de la matière chutant sur l'étoile sous la forme de jets d'éjection polaires fig 3. Dans le disque d'accrétion se forment des corps par agrégation de poussière appelés planétésimaux. Une fois atteinte une masse critique, ces planétésimaux se mettent à leur tour à accrétés la matière environnante pour former des planètes fig 4. L'accrétion sur l'étoile et les planètes ainsi que l'éjection finissent par épuiser la matière présente autour de l'étoile : celle-ci est alors « nue » et entourée d'un système planétaire.
C’est dans les nébuleuses qu’apparaissent les étoiles. Une nébuleuse est
constituée principalement de gaz et de poussières et peut s’étendre sur
plusieurs dizaines ou centaines d’années-lumière. Il existe des nébuleuses très
connues des astronomes, telles que la nébuleuse d’Orion et la nébuleuse de la
Carène. À ce stade de son existence, elle est encore assez instable, et éjecte une grande partie d’hélium et d’hydrogène. Pour le moment elle est seule, aucune planète n’existe encore pour l’accompagner. Voici la suite expliquée en image. Notre System Solaire est né .
Ci dessous: Les Piliers créant une étoile de la nébuleuse aigle.
Voici un exemple réel d'une formation planétaire. Les images de Visir (à gauche) ont révélé un disque étendu d'un rayon d'au moins 370 unités astronomiques à un stade primaire d'évolution. Ce disque, de géométrie très particulière, n'est pas plat, mais s'évase régulièrement lorsque l'on s'éloigne de l'étoile, pour atteindre une épaisseur de 360 unités astronomiques. C'est la première fois qu'une telle structure, prédite par certains modèles,
est directement mise en évidence autour d'une étoile massive. Dans une telle
géométrie, tout point de la surface du disque reçoit la lumière de l'étoile.
Cette lumière est absorbée par les poussières à la surface du disque ; celles-ci
maintiennent donc le disque relativement « chaud » loin de l'étoile.
- Notre étoile (Soleil)-
Le Soleil fait partie d'un système stellaire d'environ 140
milliards d'étoiles : C'est notre voie lactée, Le Soleil occupe une position périphérique à 28 000 années-lumière du centre, autour duquel il tourne à une vitesse de 225 km/s. Il effectue une révolution en 250 millions années. Le Soleil est seul et n'appartient pas à un système binaire. Il est l'étoile centrale de notre système planétaire, autour duquel tournent, dans l'état actuel de nos connaissances, 8 planètes, 5 planètes naines et des millions d'astéroïdes. (en cours de mise a jour a venir) Le Soleil est l'objet le plus gros du Système Solaire. Il contient plus de 99.8% de la masse totale du Système Solaire. Aujourd'hui, la composition chimique du Soleil est de 75% d'hydrogène et 25% d'hélium en masse (92.1% d'hydrogène et 7.8% d'hélium en nombre d'atomes) ; il contient également quelques métaux (0.1%). Les conditions au cœur du Soleil sont extrêmes :14 000 000 K, et la pression est de 2850 millions d'atmosphères.
-Toutes ces valeurs permettent de dire que le Soleil est constitué d'un gaz ionisé. Cet astre est d'une grande importance pour l'homme et sa vie. Grâce à la quantité énorme d'énergie et à l'émission d'un flux de particules accélérées (protons, électrons, ions) , il a permis la vie et la photosynthèse. L'énergie dégagée par le Soleil est de 3.86e33 ergs/seconde ou 386 millions de mégawatts. Elle est produite par une fusion nucléaire. Chaque seconde, 700 000 000 de tonnes d'hydrogène sont converties en 695 000 000 de tonnes d'hélium et 5 000 000 de tonnes (3.86e33 ergs) d'énergie sous forme de rayon gamma. Le Soleil, est une étoile naine jaune. Lorsqu'il aura 12 milliards d'années, sa surface externe s'étendra au-delà de l'orbite actuelle de la Terre ou davantage : il se transformera en une géante rouge, légèrement plus froide en surface qu'actuellement, mais 10 000 fois plus brillante en raison de sa taille gigantesque. Le Soleil demeurera une géante rouge, brûlant l'hélium dans son noyau, pendant un demi-milliard d'années seulement : sa masse n'est pas suffisante pour qu'il puisse traverser les cycles successifs d'une combustion nucléaire ou d'une explosion cataclysmique, comme cela se produit pour certaines étoiles. Le Soleil est aujourd'hui vieux d'environ 4,6 milliards d'années. Il s'est formé par l'effondrement gravitationnel d'une nébuleuse sur elle-même. Il recèle assez d'hydrogène dans son noyau pour que la réaction nucléaire dure encore 7,6 milliards d'années. Lorsque le Soleil aura épuisé ses réserves d'hydrogène, il changera de structure. Après le stade de géante rouge, les couches externes seront éjectées dans l'espace et donneront naissance à une nébuleuse planétaire. Puis le noyau résiduel du Soleil s'effondrera pour former une naine blanche, petite étoile de la taille de la Terre environ. Enfin il se refroidira lentement pendant plusieurs milliards d'années et deviendra une naine noire. Au centre du Soleil se trouve le noyau où ont lieu les réactions thermonucléaires. La température est de 14 000 000 K et la pression de 150x109. Le noyau mesure 1/4 du rayon du Soleil. Toute la chaleur émise par le Soleil provient de cette zone. La zone de radiation ou zone radiative se situe approximativement entre 0.25 et 0.7 rayon solaire. La température est de 2 000 000 K. Dans cette zone, il n'y a pas de convection thermique. La tachocline est une couche épaisse d'environ 3 000 kilomètres qui sépare la zone de radiation de la zone de convection. La zone de convection ou zone convective s'étend de 0.7 rayon solaire du centre à la surface visible du Soleil. La température y passe de 2 000 000 K à 5 800 K. C'est selon un mouvement vertical, par convection, que la chaleur est conduite vers la photosphère. La photosphère est la surface visible du Soleil. C'est une partie externe de l'étoile qui produit entre autres la lumière visible. La photosphère a une épaisseur d'environ 400 kilomètres. Sa température moyenne est de 6 000 K. Des taches noires apparaissent à sa surface, appelé les taches solaires (Sunspots), et sont à 3 800 K (elles apparaissent noires du fait de leur différence de température avec les régions avoisinantes). Ces taches solaires peuvent être très larges, jusqu'à 50 000 km de diamètre. Source Sciences et Vie image Siences et Avenir
A quelques degrés près, toutes les planètes tournent autour du Soleil dans un même plan, appelé « plan de l'écliptique ». À 4° près, la Lune tourne aussi autour de la Terre dans ce même plan. Cela se traduit de la manière suivante dans les observations : vus depuis la Terre, Soleil, Lune et planètes se déplacent apparemment sur la voûte céleste en suivant un même grand cercle, l'écliptique.
La Lune est née lorsque la Terre, elle-même à
peine formée, a subi une collision massive
avec une autre planète de la taille de Mars. Les débris éjectés par la collision
se sont ré-accumulés pour former la Lune. L'impact a aussi provoqué le
démarrage du dernier acte de la formation du noyau de la Terre. Plusieurs
dates ont été précédemment proposées pour cet événement, à partir des mesures
d'isotopes radioactifs: Les planétologues ont découvert «une relation entre le
temps auquel la collision formant la Lune s'est produite et la quantité de
matériau que la Terre a acquise après cette collision géante», explique
l'Observatoire dans un communiqué. Le planétoïde Théia, de la taille de Mars soit 6 500 kilomètres de diamètre, aurait donc, heurté la Terre à la vitesse de 40 000 kilomètres par heure sous un angle oblique, détruisant l'impacteur et éjectant ce dernier ainsi qu'une portion du manteau terrestre en orbite dans l'espace, avant de s'agglomérer pour donner naissance à la Lune. -** source :rentrer.fr/archives/2015/04/15/31895862.html La lune est bien plus qu'un simple satellite pour la Terre: elle maintien le bouclier magnétique qui nous protège des particules solaire, sans ce bouclier, la vie n'aurait pu s'épanouir.. en effet, l'influence gravitationnelle de la lune sur notre planète à cause de la forme aplatie de la terre et des variations de son axe de rotation, l'orbite de notre Lune est irrégulière. Cette distorsion engendre assez d'énergie pour maintenir les mouvements du noyau de notre globe (terre), à l'origine du champ magnétique protecteur qui entoure la Terre. Source: //galaxie/etoile/systeme_solaire/terre1/lune/page_lune.htm La lune est un endroit désolé, vide et stérile, sans air, ni végétation. De l'eau est présente sur la Lune mais l'eau liquide ne peut persister à la surface et la vapeur d'eau est décomposée par la lumière du Soleil, ce qui produit de l'hydrogène. Lune n'a aucune atmosphère. L'absence d'atmosphère sur la Lune est une raison pour laquelle le ciel est toujours noir, car le spectre de lumière du soleil n'est pas divisé par une atmosphère. Sur Terre la lumière du soleil est divisé par les molécules d'air, ce qui nous donne un ciel bleu. La Lune tourne sur elle-même (en même temps qu'elle tourne autour de la Terre) en 29,53059 jours. C'est la révolution synodique. la Terre a tourné d'un angle tandis que la Lune tourne autour de la Terre en effectuant autour de son axe une rotation en sens inverse (dans un cercle, les rotations sont opposées par rapport à l'axe de rotation) de même angle a. Pour une rotation de 1° dans un sens, il y a une contre rotation dans l'autre sens. De ce fait, la Lune nous présente toujours la même face. Lorsque la Lune s’est formée, elle se situait aux alentours de 150000 Km de la Terre. Mais le mouvement des marées l’a depuis entrainée de plus en plus loin de la Terre : elle se situe aujourd’hui à plus de 384 000 km de nous. Au fil des milliards d'années, la force gravitationnelle de la Lune a ralenti la vitesse de rotation de la Terre qui à l'origine était de 6 heures, et qui aujourd'hui est de 24 heures. Et ce ralentissement de la rotation terrestre n'est pas terminé: dans quelques milliards d'années, la durée d'un jour terrestre sera multipliée par cinquante. linternaute.com/science/espace/pourquoi/06/marees/marees.shtml -L'héliosphère- Le champ magnétique interplanétaire, également connu sous le nom de champ magnétique de l'héliosphère, est le champ magnétique du ... Ainsi, la magnétosphère terrestre dévie le vent solaire.
Le Soleil émet en permanence près de 1 million de tonne de matière par seconde dans le milieu interplanétaire. C’est ce que l’on appelle le vent solaire . Le vent solaire est un plasma c’est-à-dire un gaz constitué principalement d’électron et de protons mais également d’ions ( atomes ayant perdu un ou plusieurs électrons ) tels que He² et d’autres plus lourds. La vitesse du vent solaire lent est d’environ 300km.s. Il varie peu en fonction du cycle solaire et ne dépend pas de l’activité solaire. Le vent solaire rapide quant à lui est varie entre 500 et 800 km.s . Il dépend fortement du cycle et de l’activité solaire. Ce sont ses sursauts qui pourront avoir des conséquences sur Terre. L'héliosphère est une gigantesque bulle de gaz dont la forme et la dimension varient selon la rotation, le déplacement, l'activité et le champ magnétique du Soleil. Ainsi, la rotation du Soleil sur lui-même crée la forme spiralée de l'héliosphère et le déplacement du Soleil crée la forme allongée de l'héliosphère. La magnétosphère terrestre s'oppose au vent solaire . Elle nous protège contre le vent solaire et agit comme un bouclier. La magnétosphère, qui devrait ressembler à celle générée par un dipôle, est déformée par le vent solaire. Elle est compressée du côté diurne alors qu'elle s'étend à de grandes distances du côté nocturne.
Les particules du vent solaire piégées
dans le champ magnétique terrestre ont tendance à s'accumuler dans la ceinture
de Van Allen et provoquent les aurores polaires
lorsqu'elles pénètrent dans l'atmosphère terrestre à proximité des pôles.
D'autres planètes possédant un champ magnétique ont aussi leurs propres aurores
; Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune en sont des exemples. Le vent solaire est
aussi responsable de la deuxième queue des comètes. Cette queue, constituée de
plasma, est toujours dirigée à l'opposé du Soleil (comme une ombre). -Les Comètes- Les comètes ont deux origines possibles: la Ceinture de Kuiper, située au-delà de Neptune, et le Nuage d'Oort, situé au-delà de Pluton, à des distances extrêmes du Soleil. Mais des astronomes ont découvert durant la dernière décennie au moins 12 comètes actives, dans une troisième région du Système solaire, la Ceinture d'astéroïdes située entre Mars et Jupiter. Des découvertes plutôt surprenantes. Jusqu'à présent, cette région a été considérée principalement comme un dépotoir pour les objets célestes constitués essentiellement de roche et de métaux que sont les astéroïdes, restes de planètes avortées. Il a été constaté que certains d'entre eux ne sont finalement pas des
pierres mortes, mais des comètes dormantes qui peuvent encore revenir à la vie
si l'énergie qu'elles reçoivent du Soleil augmente de quelques pour cents.
Quand elles passent relativement près de Jupiter, la plus grosse planète du
Système solaire, les comètes subissent des perturbations qui modifient leur
orbite. Cela peut diminuer la distance entre la comète et le Soleil et suffire à
la "réveiller". Selon cette interprétation, chacune des milliers des voisines
endormies. Ces comètes sont appelées "lazare" pourraient potentiellement revenir
à la vie. Ces résultats sont publiés dans une revue de la Société Royale
d'Astronomie
- Terre -
Galliléé n'avait pas les instruments voulu pour voir que la Terre n'était pas
tout a fait ronde! On suppose qu'une activité chimique intense dans un milieu hautement énergétique a produit une molécule capable de se reproduire, dans un système particulier, il y a environ 4 milliards d'années. On pense que la vie elle-même serait apparue entre 200 et 500 millions d'années plus tard.
Le développement de la photosynthèse, active depuis bien avant 3 à 3,5 milliards
d'années avant le présent, permit à la vie d'exploiter directement l'énergie du
Soleil. Celle-ci produisit de l'oxygène qui s'accumula dans l'atmosphère, à
partir d'environ 2,5 milliards d'années avant le présent, et forma la couche
d'ozone (une forme d'oxygène [O3]) dans la haute atmosphère, lorsque les niveaux
d'oxygène dépassèrent quelques pourcents. Le regroupement de petites cellules
entraîna le développement de cellules complexes appelées eucaryotes. Les
premiers organismes multicellulaires formés de cellules au sein de colonies
devinrent de plus en plus spécialisés. Aidées par l'absorption des dangereux
rayons ultraviolets par la couche d'ozone, des colonies bactériennes pourraient
avoir colonisé la surface de la Terre, dès ces époques lointaines. Les plantes
et les animaux pluricellulaires ne colonisèrent la terre ferme qu'à partir de la
fin du Cambrien (pour mousses, lichens et champignons) et pendant l'Ordovicien
(pour les premiers végétaux vasculaires et les arthropodes), le Silurien (pour
les gastéropodes ?) et le Dévonien (pour les vertébrés)[réf. nécessaire]. L'histoire de la
terre et de la vie... Source :/www.hominides.com/html/chronologie/chronoterre.php
Les
cyanobactéries sont peut-être apparues il y a 3,5 milliards d'années.
Capables de réaliser la photosynthèse, elles ont transformé du dioxyde de
carbone en dioxygène. C'est en partie grâce à elles que la vie a pu émerger en
dehors des océans. © elapied, Wikipédia, cc by sa 3.0 Mais qu'y avait-il avant ? Ces bactéries sont-elles apparues spontanément sur
Terre ou bien sont-elles nées de l'association de divers éléments organiques ?
Dans ce cas, d'où viendraient les briques du vivant : des conditions de vie sur
Terre ou de l'espace, comme le pensent certains ? Le débat reste ouvert et
chaque théorie dispose de ses arguments. -Rien cependant n'atteste que cela s'est réellement produit sur Terre et des doutes persistent quant à la possibilité que ces êtres vivants pionniers aient pu résister à l’entrée de la météorite dans l’atmosphère terrestre. Dessous -Source de Éric Postaire -copie exacte- À la suite du "big-bang", qui s’est produit, les éléments de l’univers se sont créés progressivement, dans l’ordre du tableau périodique des éléments de Mendeleïev. Les molécules sont ensuite apparues et, à un moment donné de leur complexification, se seraient regroupées dans un espace clos, limité par une membrane cellulaire formée d’une double couche de molécules lipidiques. C’est au cours de cette période que sont apparus les protéines et les acides nucléiques : savoir comment ces deux macromolécules ont été recrutées constitue aujourd’hui le défi le plus important pour comprendre les origines de la vie. Par la suite, s’est mise en route une lente construction de la première cellule, jusqu’au « déclic » qui a permis son émancipation : par quels mécanismes? L'évolution 150 ans après Darwin - Des cataclysmes dans
l'apparition et la disparition de la vie. Et demain ?
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