-L'étoile de Tabby, autrement nommée KIC.8462852,852 est une étoile
jaune-blanc de la séquence principale située dans la constellation du
Cygne à environ 451 pc (1 470 a.l.) de la Terre. Elle a fait l'objet
d'une attention médiatique en octobre 2015 à cause de variations
inhabituelles de luminosité. **(Wikipédia)
-Tabetha Boyajian, qui en étudiait les fluctuations lumineuses grâce aux
données fournies par le télescope Kepler a écrit le premier
article scientifique au sujet de KIC 8462852. « L'étoile de Tabby » est
située à 1 280 années-lumière de nous.
-Une sphère de Dyson est une mégastructure
hypothétique décrite
en 1960 par le
physicien et mathématicien américano-britannique éponyme Freem an Dyson,
dans un court article publié dans la revue Science et intitulé Search
for Artificial Stellar Sources of Infrared Radiation (« Recherche de
sources stellaires artificielles de rayonnements infrarouges »).
-Cette structure d'astro-ingénierie
consiste en une sphère de matière, artificielle et creuse,
située autour d'une étoile et conçue pour en capturer presque toute
l'énergie émise pour une utilisation industrielle. Dyson nomme également
cette structure « biosphère artificielle ».
-En 1929. Dans son article, Dyson explique
qu'une telle sphère est un moyen idéal pour une civilisation très
avancée de faire face à un accroissement démographique exponentiel.
Il la décrit comme une coquille enserrant son étoile parente, captant la
quasi-intégralité de sa radiation stellaire. Il explique aussi que de
telles sphères pourraient aussi abriter des structures d'habitations.
Enfin, il recommande d'observer la galaxie dans l'infrarouge afin de
détecter de possibles sphères dans notre galaxie.-La sphère de Dyson
ou les sphères de Dyson- permet
d'essayer
d'expliquer ce qu'on ne comprend pas encore.
-Les sphères de Dyson sont bien évidemment futuristes pour notre
civilisation. (*de Type 0,72*)
Elles servent cependant parfois d'explication temporaire à des
phénomènes que les scientifiques ne parviennent pas encore à expliquer.
A l'instar de la magie, autrefois, la présence de civilisations
extraterrestres est pratique, aujourd'hui, pour interpréter des
événements que nous ne parvenons pas encore à comprendre.
-Plusieurs hypothèses ont été proposées pour
expliquer les grands changements irréguliers de luminosité de l'étoile
qui apparaissant dans sa courbe de lumière,
mais à ce jour, aucune hypothèse n'explique
pleinement tous les aspects des variations.
-Bien que Dyson soit controversée par d'autres, dans la même rubrique,
l'ingénieur en aéronautique Eugene Sloane trouve quant à lui que l'idée
de Dyson est « réalisable et raisonnable ».
Il se demande ensuite pourquoi, si de telles
civilisations avancées existent, aucune n'a pu entrer en contact avec
l'humanité.
-On va dire: que Tabby est une gigantesque mégastructure de collecte
construite par une civilisation extraterrestre. c'est ce qui permettrait
cette hypothèse permettant néanmoins d'expliquer les signaux
incompréhensibles qu'elle nous envoie. Des signaux captés par le
télescope Kepler (2009). Ce sont des astronomes amateurs qui ont
été les premiers étonnés par les courbes de lumière de cet étoile "KIC.8462852".
un astre un peu plus massif et brillant que le soleil. Les courbes de
lumière enregistrées de 22% sont étonnantes. La méthode des transits
dit: la baisse de luminosité périodique d'une étoile est associée au
passage d'une planète devant elle. cet effet de transit est en réalité
très faible. exemple, le passage d'un corps comme Jupiter devant une
étoile semble au soleil entraine une baisse de luminosité apparente que
d'environ 1%, et pour une jumelle de la TERRE DE SEULEMENT 0,001%, et
ici, avec KIC.8462852, on parle de 22%!
-Quelle planète ultra géante peut éclipser un
cinquième de l'éclat d'une étoile?
-Les changements de luminosité de l'étoile sont
compatibles avec une grande masse (ou de nombreuses petites masses
ensemble) en orbite autour de l'étoile en « formation serrée ». La
première baisse importante obscurcit l'étoile à 15 %, et la seconde à 22
%. En comparaison, une planète de la taille de Jupiter ne ferait que
masquer une étoile de cette taille de 1%, ce qui signifie que ce qui
bloque la lumière lors des deux diminutions importantes de la luminosité
n'est pas une planète, mais plutôt quelque chose masquant une moitié de
l'étoile.
-Cet objet stellaire est d'autant plus intrigant que ses baisses de
luminosité ne sont pas périodiques et peuvent durer de 5 a 80 jours,
avant de revenir a la normale. . Impossible donc de les expliquer par le
passage d'une planète.(irrégularité). Bradedley Schaert (université
d'état de Louisiane) révèle qu'en étudiant des données d'archives, et
des plaques photographiques anciennes, il a pu mettre en évidence que la
luminosité de KIC.8462852 avait déjà diminué de 14% entre 1890et 1989.
-Quelques mois plus tard une étude vient encore
compliquer le dossier. Elle montre en effet que durant les 4 années
d'observation de la région par Kepler, l'éclat de l'étoile s'est peut à
peut affaibli, avec une baisse de 1% de sa luminosité les 3 premières
années puis de 2% en 6 mois, avant de se stabiliser.
- En 2021, l'enquête
connait un nouveau rebondissement: on découvre que Tabby est (KIC.8462852)
est lié gravitationnellement à un petit astre, une naine rouge distante
de 132 milliards de kilomètres et rien ne prouve encore que ce corps
lointain soit a l'origine des bizarreries décrites ici.
(Dans la constellation du cygne)
-L'étoile de Tabby n'est pas la seule étoile à avoir de grandes
variations irrégulières, mais d'autres étoiles de ce type incluent de
jeunes objets stellaires dont la luminosité est qualifiée de louche [Par
qui ?], qui ont des schémas de variations différents, tel que l'objet
EPIC 204278916.
-De nouvelles fluctuations ont été détectées de la
mi-mai 2017 à juillet 2018, en supposant qu'elles se sont poursuivies
durant la période de fin décembre 2017 à mi-février 2018 alors que
l'étoile est trop proche du Soleil pour pouvoir être observée. En
septembre 2019, les astronomes ont rapporté que les variations observées
de l'étoile de Tabby pourraient avoir été produites par des fragments
résultant de la perturbation d'une exo lune orpheline. Une étude globale
d'autres étoiles similaires a été présentée. En janvier 2021, un
compagnon de masse stellaire éloigné a été signalé, faisant de KIC
8462852 un système stellaire binaire.
-Les noms "d'étoile de Tabby" et de "l'étoile de Boyajian" font
référence à l'astronome américaine Tabetha S. Boyajian, qui était
l'auteur principal de l'article scientifique qui a annoncé la découverte
des fluctuations lumineuses irrégulières de l'étoile en 2015.
-Le surnom "d'étoile WTF" est une référence au
sous-titre de l'article "où est le flux ?", qui met en évidence les
creux observés dans le flux radiatif de l'étoile. Le surnom est un
double sens pour l'expression familière de l'incrédulité, "what the fuck",
ou "WTF", signifiant en français "c'est quoi ce bordel". L'étoile a
également reçu le surnom de "LGM-2" (pour Little Green Man - 2,
signifiant Petits Hommes Verts ) - un hommage au premier pulsar
découvert, PSR B1919+21, qui a reçu le surnom de "LGM-1" lorsqu'il a été
théorisé à l'origine comme étant une transmission d'une civilisation
extraterrestre.
-Une autre explication proposée pour la réduction
de la lumière est qu'elle est due à un nuage d'exo comètes en
désintégration en orbite elliptique autour de l'étoile.
Ce scénario supposerait qu'un système planétaire,
se situant autour de l'étoile de Tabby, a
quelque chose de
similaire au nuage d'Oort et que la gravité d'une
étoile proche a amené les comètes dudit nuage à se rapprocher du
système, obstruant ainsi les spectres de l'étoile de Tabby. Les preuves
à l'appui de cette hypothèse incluent une naine rouge de type M à moins
de 132 milliards de kilomètres (885 UA) de l'étoile de Tabby. L'idée que
les comètes d'un tel nuage pourraient exister en nombre suffisamment
élevé pour obscurcir 22% de la luminosité observée de l'étoile a été
mise en doute, en raison de l'importante baisse de luminosité.
-Fondés sur l'étude du type spectral de l'étoile, les changements de
luminosité de l'étoile ne peuvent pas être attribués à la variabilité
intrinsèque. Quelques hypothèses ont été
proposées impliquant du matériel en orbite autour de l'étoile et
bloquant sa lumière. Aucune de ces
explications ne parvient cependant à expliquer pleinement les données
observées.
-L'hypothèses-Dans son article de 1966, Dyson a évoqué la possibilité
que la biosphère artificielle puisse se déplacer, et, ainsi, permettre à
la civilisation la contrôlant de voyager d'un système solaire à un
autre. La sphère permettrait ainsi de puiser l'énergie nécessaire à une
migration interstellaire. Un déplacement à une vitesse de l'ordre de 2
000 km/s n'utiliserait que 40 % de la radiation solaire captée. Le
carburant proviendrait de la masse de Jupiter, embarquée au sein de la
sphère, masse qui permettrait de naviguer ainsi pendant un million
d'années. -Une civilisation si avancée atteindrait une
étoile en cent mille ans, étant donné qu'en moyenne il y a une étoile
toutes les trois années-lumière. L'étoile embarquée entrerait alors en
interaction avec l'étoile visitée, créant une nouvelle poussée
permettant de continuer le voyage.
Une autre explication proposée pour la réduction
de la lumière est qu'elle est due à un nuage d'exo comètes en
désintégration en orbite elliptique autour de l'étoile. Ce scénario
supposerait qu'un système planétaire,
se situant autour de l'étoile de Tabby, a quelque chose de similaire au nuage d'Oort et que la gravité
d'une étoile proche a amené les comètes dudit nuage à se rapprocher du
système, obstruant ainsi les spectres de l'étoile de Tabby. Les preuves
à l'appui de cette hypothèse incluent une naine rouge de type M à moins
de 132 milliards de kilomètres (885 UA) de l'étoile de Tabby. L'idée que
les comètes d'un tel nuage pourraient exister en nombre suffisamment
élevé pour obscurcir 22% de la luminosité observée de l'étoile a été
mise en doute, en raison de l'importante baisse de luminosité.
-Fondés sur l'étude du type spectral de l'étoile, les changements de
luminosité de l'étoile ne peuvent pas être attribués à la variabilité
intrinsèque. Quelques hypothèses ont été proposées impliquant du
matériel en orbite autour de l'étoile et bloquant sa lumière.
Aucune de ces explications ne parvient cependant à expliquer pleinement
les données observées.
-L'hypothèses-Dans son article de 1966, Dyson a évoqué la possibilité
que la biosphère artificielle puisse se déplacer, et, ainsi, permettre à
la civilisation la contrôlant de voyager d'un système solaire à un
autre. La sphère permettrait ainsi de puiser l'énergie nécessaire à une
migration interstellaire. Un déplacement à une vitesse de l'ordre de 2
000 km/s n'utiliserait que 40 % de la radiation solaire captée. Le
carburant proviendrait de la masse de Jupiter, embarquée au sein de la
sphère, masse qui permettrait de naviguer ainsi pendant un million
d'années. -Une civilisation si avancée atteindrait une étoile en cent
mille ans, étant donné qu'en moyenne il y a une étoile toutes les trois
années-lumière. L'étoile embarquée entrerait alors en interaction avec
l'étoile visitée, créant une nouvelle poussée permettant de continuer le
voyage.
Cette vision d'une civilisation de type II,
affublée d'un surnom tout de même péjoratif, reste cependant très
humaine, basée sur notre propre conception des choses.
Or, notre civilisation, selon l'échelle de
Kardashev, n'a même pas encore atteint le niveau I (exactement 0,72!):
Pourquoi toujours considérer les civilisations extraterrestres comme des
nuées de sauterelles qui iraient de monde en monde (Indépendance Day,
sorti en 1996, par exemple), et ensuite d'étoile en étoile, pour en
extraire toute l'énergie jusqu'à épuisement ? Il serait temps de leur
prêter aussi des intentions d'économie durable et d'entretien de leur
environnement.
-Ces civilisations de
type II ne pourraient-elles
pas recréer des étoiles, les cultiver à la manière de ce que nous
pratiquons en agriculture ? D'autant que les conditions pour passer
d'un niveau au suivant et éviter l'autodestruction de la
civilisation en question sont de parvenir à réguler la consommation
d'énergie à disposition et de prendre en compte le nécessaire
renouvellement des ressources
-Utiliser l'énergie des étoiles ''avait d'ailleurs
donné des idées : cela peut aussi servir à alimenter directement un
vaisseau intergalactique, voire une station spatiale, à la manière des Archélyiennes dans mon roman L'Envol du phœnix. Les Archélyiennes eprésentantes d'une civilisation de type
II se déplacent via les trous de ver.
Leur station spatiale, décrite dans le roman, a été dessinée par Théophile Navet
Viorel Badescu et Richard Brook Cathcart évoquent
également la possibilité que la sphère serve de « moteur stellaire » (stellar
engine). Il a été également envisagé un déplacement au moyen de voiles
solaires
Classification des civilisations d'après N. kardashev :
-Notre civilisation
actuelle est du niveau
Type 0,72...........
Civilisation de type I
: civilisation capable d'utiliser et de maîtriser l'énergie de sa
planète, voire des autres planètes à proximité (nous n'avons pas encore
atteint ce stade)
Civilisation de type II
: civilisation capable d'utiliser et de maîtriser l'énergie de son
étoile, voire des étoiles à proximité ;
Civilisation de type III
: civilisation capable d'utiliser et de maîtriser l'énergie de sa
galaxie.
-Le paradoxe de Fermi est un questionnement quant à l'absence de signes
d'une civilisation extraterrestre, alors même que l'univers est ancien
et que le nombre de mondes abritant l'intelligence devrait donc être
élevé. Plusieurs solutions ont tenté d'expliquer ce paradoxe, ce «
grand
silence ». Au moyen de son hypothèse de biosphères artificielles,
Dyson pense qu'une civilisation de type II
n'aurait aucun besoin de quitter son étoile d'origine. Grâce à une
sphère de Dyson enserrant son soleil, elle pourrait en capter toute
l'énergie nécessaire, sans avoir à explorer la galaxie. Les
extraterrestres pourraient tout aussi bien rester chez eux pour des
raisons philosophiques, ou parce qu'ils auraient développé un puissant
environnement virtuel dans lequel ils vivraient totalement.
-Les quasars pourraient être de possibles sphères de Dyson à l'échelle
galactique. Ici, une source quasar au sein de la galaxie NGC 7319.
-Après la publication de l'article de Dyson, plusieurs réactions ont
suivi, dans Science, pointant le fait qu'une structure sphérique de
cette taille engendrerait des problèmes mécaniques énormes. Dyson a
répondu qu'il envisagerait surtout une collection lâche de plus de cent
mille objets voyageant sur des orbites indépendantes dans une coquille
d'environ un million de kilomètres d'épaisseur. Cet arrangement peut
être considéré comme la sphère de Dyson
de type II
alors que l'hypothèse
d'une coquille solide serait plutôt le type II. Pour Richard A. Carrigan,
une sphère de Dyson partielle (comme un anneau) serait un objet plus
pratique à fabriquer qu'une sphère complète, comme celle pensée
initialement par le mathématicien. Il existe également une hypothèse
sous forme de bulle.
-Des auteurs ont proposé des structures de Dyson à l'échelle d'une
galaxie. Ce type de mégastructure utiliserait l'énergie totale radiée
par les milliards d'étoiles formant la galaxie. Kardashev a proposé le
premier l'idée qu'une civilisation dite de type III
(*Très en
avance sur nous *) puisse mener des projets d'astro-ingénierie aux
dimensions d'une galaxie. Cette hypothèse comprend aussi l'alternative
selon laquelle la galaxie pourrait être peuplée de millions de sphères
de Dyson individuelles. De telles mégastructures seraient visibles
jusqu'à des limites très avancées de l'univers visible.
-Dyson a alors calculé qu'en utilisant une masse
de matière équivalente à celle de Jupiter, il est possible d'entourer
notre Soleil d'une coque semi-solide, d'une épaisseur de 2 à 3 mètres,
capable de piéger le rayonnement de notre étoile.
-A ce jour il n'y a toujours pas de théories qui pour expliquer le
comportement étrange de cette étoile conclut Thabertha B.
-Alors l'hypothèse d'une structure
extraterrestre fait rêver .Un tel
dispositif servirait à une civilisation extraterrestre.
-Si aucun programme consacré à trouver d'hypothèques signaux
extraterrestre n'a livré de résultats a ce
jour, force est de constater qu'un nombre croissant d'objets volants non
identifiés son signalés depuis les années 2000.
Scott Bray directeur adjoint du renseignement pour
la US Navy, devant le congrès américain, a préciser (prudemment) que
rien ne pouvait suggérer une origine NON terrestre a ces phénomènes,
sans l'exclure.
-Le département de la défense des Etas-Unis a donc lancé un nouveau
programme pour recenser les phénomènes inexpliqués
et identifier les
"armes" expérimentales potentiellement par d'autres puissances.
-La Nasa lance une étude de grande ampleur pour étudier ces phénomènes
INEXPLIQUES. En espérant que les signaux de (KIC 8462852)ne restent pas
inexpliqués.
-La liste des hypothèses est longue, mais le
mystère demeure. Lhypothèse dune présence extraterrestre est donc la
plus intéressante, mais
il est plus probable que l'on soit face à un
phénomène astrophysique que les chercheurs ne savent pas encore
expliquer
.Une sphère de Dyson est donc, pour nous, quelque
chose d'inaccessible pour le moment. Il s'agit, comme pour les trous de
ver, d'un objet hypothétique fascinant qui nourrit notre imaginaire.
-D'après l'échelle des civilisations de Nikolaï
Kardashev (astronome soviétique, né le 25 avril 1932 et décédé le
3 août 2019), elle serait l'outil d'une civilisation de type II, qui
aurait ainsi accès à la totalité de l'énergie d'une étoile. Clément
Vidal, philosophe des sciences et chercheur à l'Université Virje de
Bruxelles, propose, dans son livre, de nommer ces civilisations des «
starivores ». Elles se déplaceraient vers une autre étoile chaque fois
que l'énergie de la précédente serait totalement épuisée. (**Voir
l'article sur le site Pour la science.)
-Dyson a également connaissance des travaux de l'astronome russe Nikolaï
Kardashev, qui a établi une classification des civilisations
extraterrestres, selon l'usage qu'elles font de l'énergie disponible
dans leurs environnements.-Une civilisation
de type 1, est capable
d'utiliser toute l'énergie disponible sur sa planète d'origine
(approximativement une puissance de 1,741017 Watts, soit l'équivalent
de cent millions de réacteurs nucléaires comme l'EPR).
Une civilisation de type II doit
s'avérer capable de collecter toute l'énergie de son étoile centrale
soit une puissance valant à peu près 1026 W. Une sphère de Dyson
appartient donc au type II.
Enfin, une civilisation
de type III a à sa disposition toute
l'énergie émise par la galaxie dans laquelle elle est située, soit près
de 1036 W. S'appuyant sur cette échelle.
-Dyson a calculé qu'une société avec 1 % de
croissance économique annuelle peut
atteindre le type II en 2 500 ans,
c'est-à-dire qu'elle est susceptible de puiser directement, et
intégralement, son énergie de son étoile.
-Pour nous! ce n'est pas encore demain!-
***Articles: Sciences et Avenir
copiés et simplifiés
(sans détruire le sens) par moi même et aussi avec des morceaux de wikipédia.----
Rv 2021è2024