Sphère de Dyson,

une mégastructure extraterrestre : et si c'était possible ?

***source  sciences et vie -Sciences et Avenir et wykipédia.

-Le concept de « sphère de Dyson » provient dun raisonnement  enapparence logique: si on toute civilisation technologiquement (très) avancée a besoin de plus en plus dénergie pour répondre à ses besoins, arrive un moment où des panneaux solaires sur la planète ne suffisent plus. La meilleure façon de recueillir chaque photon dénergie solaire est d'entourer son étoile dune sphère de panneaux solaires :
cest ainsi que le physicien et
mathématicien Freeman Dyson avait évoqué, en 1960, ce quon en est venu à appeler la sphère de Dyson. Lui-même a reconnu en avoir eu l'inspiration dans un roman de science-fiction, Créateur détoiles, paru en 1937.

-Mystérieuse et bizarre) soupçonnée par certains astronomes d'être entourée d'une sphère de "Dyson".
-L'étoile de Tabby, autrement nommée KIC.8462852,852 est une étoile jaune-blanc de la séquence principale située dans la constellation du Cygne à environ 451 pc (1 470 a.l.) de la Terre. Elle a fait l'objet d'une attention médiatique en octobre 2015 à cause de variations inhabituelles de luminosité. **(Wikipédia)

-Tabetha Boyajian, qui en étudiait les fluctuations lumineuses grâce aux données fournies par le télescope Kepler  a écrit le premier article scientifique au sujet de KIC 8462852. « L'étoile de Tabby » est située à 1 280 années-lumière de nous.

-Une sphère de Dyson est une mégastructure hypothétique décrite en 1960 par le physicien et mathématicien américano-britannique éponyme Freem an Dyson, dans un court article publié dans la revue Science et intitulé Search for Artificial Stellar Sources of Infrared Radiation (« Recherche de sources stellaires artificielles de rayonnements infrarouges »).
-Cette structure d'astro-ingénierie consiste en une sphère de matière, artificielle et creuse, située autour d'une étoile et conçue pour en capturer presque toute l'énergie émise pour une utilisation industrielle. Dyson nomme également cette structure « biosphère artificielle ».

-En 1929. Dans son article, Dyson explique qu'une telle sphère est un moyen idéal pour une civilisation très avancée de faire face à un accroissement démographique exponentiel. Il la décrit comme une coquille enserrant son étoile parente, captant la quasi-intégralité de sa radiation stellaire. Il explique aussi que de telles sphères pourraient aussi abriter des structures d'habitations. Enfin, il recommande d'observer la galaxie dans l'infrarouge afin de détecter de possibles sphères dans notre galaxie.

-La sphère de Dyson

ou les sphères de Dyson- permet d'essayer d'expliquer ce qu'on ne comprend pas encore.
-Les sphères de Dyson sont bien évidemment futuristes pour notre civilisation. (*de Type 0,72*) Elles servent cependant parfois d'explication temporaire à des phénomènes que les scientifiques ne parviennent pas encore à expliquer. A l'instar de la magie, autrefois, la présence de civilisations extraterrestres est pratique, aujourd'hui, pour interpréter des événements que nous ne parvenons pas encore à comprendre.

-Plusieurs hypothèses ont été proposées pour expliquer les grands changements irréguliers de luminosité de l'étoile qui apparaissant dans sa courbe de lumière, mais à ce jour, aucune hypothèse n'explique pleinement tous les aspects des variations.

-Bien que Dyson soit controversée par d'autres, dans la même rubrique, l'ingénieur en aéronautique Eugene Sloane trouve quant à lui que l'idée de Dyson est « réalisable et raisonnable ». Il se demande ensuite pourquoi, si de telles civilisations avancées existent, aucune n'a pu entrer en contact avec l'humanité.

-On va dire: que Tabby est une gigantesque mégastructure de collecte construite par une civilisation extraterrestre. c'est ce qui permettrait cette hypothèse permettant néanmoins d'expliquer les signaux incompréhensibles qu'elle nous envoie. Des signaux captés par le télescope Kepler (2009).  Ce sont des astronomes amateurs qui ont été les premiers étonnés par les courbes de lumière de cet étoile "KIC.8462852". un astre un peu plus massif et brillant que le soleil. Les courbes de lumière enregistrées de 22% sont étonnantes. La méthode des transits dit: la baisse de luminosité périodique d'une étoile est associée au passage d'une planète devant elle. cet effet de transit est en réalité très faible. exemple, le passage d'un corps comme Jupiter devant une étoile semble au soleil entraine une baisse de luminosité apparente que d'environ 1%, et pour une jumelle de la TERRE DE SEULEMENT 0,001%, et ici, avec KIC.8462852, on parle de 22%!

-Quelle planète ultra géante peut éclipser un cinquième de l'éclat d'une étoile?

-Les changements de luminosité de l'étoile sont compatibles avec une grande masse (ou de nombreuses petites masses ensemble) en orbite autour de l'étoile en « formation serrée ». La première baisse importante obscurcit l'étoile à 15 %, et la seconde à 22 %. En comparaison, une planète de la taille de Jupiter ne ferait que masquer une étoile de cette taille de 1%, ce qui signifie que ce qui bloque la lumière lors des deux diminutions importantes de la luminosité n'est pas une planète, mais plutôt quelque chose masquant une moitié de l'étoile.
-Cet objet stellaire est d'autant plus intrigant que ses baisses de luminosité ne sont pas périodiques et peuvent durer de 5 a 80 jours, avant de revenir a la normale. . Impossible donc de les expliquer par le passage d'une planète.(irrégularité). Bradedley Schaert (université d'état de Louisiane) révèle qu'en étudiant des données d'archives, et des plaques photographiques anciennes, il a pu mettre en évidence que la luminosité de KIC.8462852 avait déjà diminué de 14% entre 1890et 1989.

-Quelques mois plus tard une étude vient encore compliquer le dossier. Elle montre en effet que durant les 4 années d'observation de la région par Kepler, l'éclat de l'étoile s'est peut à peut affaibli, avec une baisse de 1% de sa luminosité les 3 premières années puis de 2% en 6 mois, avant de se stabiliser.

- En 2021, l'enquête connait un nouveau rebondissement: on découvre que Tabby est (KIC.8462852) est lié gravitationnellement à un petit astre, une naine rouge distante de 132 milliards de kilomètres et rien ne prouve encore que ce corps lointain soit a l'origine des bizarreries décrites ici.

(Dans la constellation du cygne)

-L'étoile de Tabby n'est pas la seule étoile à avoir de grandes variations irrégulières, mais d'autres étoiles de ce type incluent de jeunes objets stellaires dont la luminosité est qualifiée de louche [Par qui ?], qui ont des schémas de variations différents, tel que l'objet EPIC 204278916.

-De nouvelles fluctuations ont été détectées de la mi-mai 2017 à juillet 2018, en supposant qu'elles se sont poursuivies durant la période de fin décembre 2017 à mi-février 2018 alors que l'étoile est trop proche du Soleil pour pouvoir être observée. En septembre 2019, les astronomes ont rapporté que les variations observées de l'étoile de Tabby pourraient avoir été produites par des fragments résultant de la perturbation d'une exo lune orpheline. Une étude globale d'autres étoiles similaires a été présentée. En janvier 2021, un compagnon de masse stellaire éloigné a été signalé, faisant de KIC 8462852 un système stellaire binaire.

-Les noms "d'étoile de Tabby" et de "l'étoile de Boyajian" font référence à l'astronome américaine Tabetha S. Boyajian, qui était l'auteur principal de l'article scientifique qui a annoncé la découverte des fluctuations lumineuses irrégulières de l'étoile en 2015.

-Le surnom "d'étoile WTF" est une référence au sous-titre de l'article "où est le flux ?", qui met en évidence les creux observés dans le flux radiatif de l'étoile. Le surnom est un double sens pour l'expression familière de l'incrédulité, "what the fuck", ou "WTF", signifiant en français "c'est quoi ce bordel". L'étoile a également reçu le surnom de "LGM-2" (pour Little Green Man - 2, signifiant Petits Hommes Verts ) - un hommage au premier pulsar découvert, PSR B1919+21, qui a reçu le surnom de "LGM-1" lorsqu'il a été théorisé à l'origine comme étant une transmission d'une civilisation extraterrestre.

-Une autre explication proposée pour la réduction de la lumière est qu'elle est due à un nuage d'exo comètes en désintégration en orbite elliptique autour de l'étoile. Ce scénario supposerait qu'un système planétaire, se situant autour de l'étoile de Tabby, a quelque chose de similaire au nuage d'Oort et que la gravité d'une étoile proche a amené les comètes dudit nuage à se rapprocher du système, obstruant ainsi les spectres de l'étoile de Tabby. Les preuves à l'appui de cette hypothèse incluent une naine rouge de type M à moins de 132 milliards de kilomètres (885 UA) de l'étoile de Tabby. L'idée que les comètes d'un tel nuage pourraient exister en nombre suffisamment élevé pour obscurcir 22% de la luminosité observée de l'étoile a été mise en doute, en raison de l'importante baisse de luminosité.
-Fondés sur l'étude du type spectral de l'étoile, les changements de luminosité de l'étoile ne peuvent pas être attribués à la variabilité intrinsèque. Quelques hypothèses ont été proposées impliquant du matériel en orbite autour de l'étoile et bloquant sa lumière. Aucune de ces explications ne parvient cependant à expliquer pleinement les données observées.
-L'hypothèses-Dans son article de 1966, Dyson a évoqué la possibilité que la biosphère artificielle puisse se déplacer, et, ainsi, permettre à la civilisation la contrôlant de voyager d'un système solaire à un autre. La sphère permettrait ainsi de puiser l'énergie nécessaire à une migration interstellaire. Un déplacement à une vitesse de l'ordre de 2 000 km/s n'utiliserait que 40 % de la radiation solaire captée. Le carburant proviendrait de la masse de Jupiter, embarquée au sein de la sphère, masse qui permettrait de naviguer ainsi pendant un million d'années.    -Une civilisation si avancée atteindrait une étoile en cent mille ans, étant donné qu'en moyenne il y a une étoile toutes les trois années-lumière. L'étoile embarquée entrerait alors en interaction avec l'étoile visitée, créant une nouvelle poussée permettant de continuer le voyage.

Une autre explication proposée pour la réduction de la lumière est qu'elle est due à un nuage d'exo comètes en désintégration en orbite elliptique autour de l'étoile. Ce scénario supposerait qu'un système planétaire, se situant autour de l'étoile de Tabby, a quelque chose de similaire au nuage d'Oort et que la gravité d'une étoile proche a amené les comètes dudit nuage à se rapprocher du système, obstruant ainsi les spectres de l'étoile de Tabby. Les preuves à l'appui de cette hypothèse incluent une naine rouge de type M à moins de 132 milliards de kilomètres (885 UA) de l'étoile de Tabby. L'idée que les comètes d'un tel nuage pourraient exister en nombre suffisamment élevé pour obscurcir 22% de la luminosité observée de l'étoile a été mise en doute, en raison de l'importante baisse de luminosité.

-Fondés sur l'étude du type spectral de l'étoile, les changements de luminosité de l'étoile ne peuvent pas être attribués à la variabilité intrinsèque. Quelques hypothèses ont été proposées impliquant du matériel en orbite autour de l'étoile et bloquant sa lumière. Aucune de ces explications ne parvient cependant à expliquer pleinement les données observées.
-L'hypothèses-Dans son article de 1966, Dyson a évoqué la possibilité que la biosphère artificielle puisse se déplacer, et, ainsi, permettre à la civilisation la contrôlant de voyager d'un système solaire à un autre. La sphère permettrait ainsi de puiser l'énergie nécessaire à une migration interstellaire. Un déplacement à une vitesse de l'ordre de 2 000 km/s n'utiliserait que 40 % de la radiation solaire captée. Le carburant proviendrait de la masse de Jupiter, embarquée au sein de la sphère, masse qui permettrait de naviguer ainsi pendant un million d'années. -Une civilisation si avancée atteindrait une étoile en cent mille ans, étant donné qu'en moyenne il y a une étoile toutes les trois années-lumière. L'étoile embarquée entrerait alors en interaction avec l'étoile visitée, créant une nouvelle poussée permettant de continuer le voyage.

Cette vision d'une civilisation de type II, affublée d'un surnom tout de même péjoratif, reste cependant très humaine, basée sur notre propre conception des choses. Or, notre civilisation, selon l'échelle de Kardashev, n'a même pas encore atteint le niveau I (exactement 0,72!): Pourquoi toujours considérer les civilisations extraterrestres comme des nuées de sauterelles qui iraient de monde en monde (Indépendance Day, sorti en 1996, par exemple), et ensuite d'étoile en étoile, pour en extraire toute l'énergie jusqu'à épuisement ? Il serait temps de leur prêter aussi des intentions d'économie durable et d'entretien de leur environnement.

-Ces civilisations de type II ne pourraient-elles pas recréer des étoiles, les cultiver à la manière de ce que nous pratiquons en agriculture ? D'autant que les conditions pour passer d'un niveau au suivant et éviter l'autodestruction de la civilisation en question sont de parvenir à réguler la consommation d'énergie à disposition et de prendre en compte le nécessaire renouvellement des ressources

-Utiliser l'énergie des étoiles ''avait d'ailleurs donné des idées : cela peut aussi servir à alimenter directement un vaisseau intergalactique, voire une station spatiale, à la manière des Archélyiennes dans mon roman L'Envol du phœnix. Les Archélyiennes eprésentantes d'une civilisation de type II se déplacent via les trous de ver. Leur station spatiale, décrite dans le roman, a été dessinée par Théophile Navet

Viorel Badescu et Richard Brook Cathcart évoquent également la possibilité que la sphère serve de « moteur stellaire » (stellar engine). Il a été également envisagé un déplacement au moyen de voiles solaires

Classification des civilisations d'après N. kardashev :

-Notre civilisation actuelle est du niveau Type 0,72...........
 Civilisation de type I : civilisation capable d'utiliser et de maîtriser l'énergie de sa planète, voire des autres planètes à proximité (nous n'avons pas encore atteint ce stade)
Civilisation de type II : civilisation capable d'utiliser et de maîtriser l'énergie de son étoile, voire des étoiles à proximité ;
 Civilisation de type III : civilisation capable d'utiliser et de maîtriser l'énergie de sa galaxie.
-Le paradoxe de Fermi est un questionnement quant à l'absence de signes d'une civilisation extraterrestre, alors même que l'univers est ancien et que le nombre de mondes abritant l'intelligence devrait donc être élevé. Plusieurs solutions ont tenté d'expliquer ce paradoxe, ce « grand silence ». Au moyen de son hypothèse de biosphères artificielles, Dyson pense qu'une civilisation de type II n'aurait aucun besoin de quitter son étoile d'origine. Grâce à une sphère de Dyson enserrant son soleil, elle pourrait en capter toute l'énergie nécessaire, sans avoir à explorer la galaxie. Les extraterrestres pourraient tout aussi bien rester chez eux pour des raisons philosophiques, ou parce qu'ils auraient développé un puissant environnement virtuel dans lequel ils vivraient totalement.
-Les quasars pourraient être de possibles sphères de Dyson à l'échelle galactique. Ici, une source quasar au sein de la galaxie NGC 7319.

-Après la publication de l'article de Dyson, plusieurs réactions ont suivi, dans Science, pointant le fait qu'une structure sphérique de cette taille engendrerait des problèmes mécaniques énormes. Dyson a répondu qu'il envisagerait surtout une collection lâche de plus de cent mille objets voyageant sur des orbites indépendantes dans une coquille d'environ un million de kilomètres d'épaisseur. Cet arrangement peut être considéré comme la sphère de Dyson de type II alors que l'hypothèse d'une coquille solide serait plutôt le type II. Pour Richard A. Carrigan, une sphère de Dyson partielle (comme un anneau) serait un objet plus pratique à fabriquer qu'une sphère complète, comme celle pensée initialement par le mathématicien. Il existe également une hypothèse sous forme de bulle.
-Des auteurs ont proposé des structures de Dyson à l'échelle d'une galaxie. Ce type de mégastructure utiliserait l'énergie totale radiée par les milliards d'étoiles formant la galaxie. Kardashev a proposé le premier l'idée qu'une civilisation dite de type III  (*Très en avance sur nous *)  puisse mener des projets d'astro-ingénierie aux dimensions d'une galaxie. Cette hypothèse comprend aussi l'alternative selon laquelle la galaxie pourrait être peuplée de millions de sphères de Dyson individuelles. De telles mégastructures seraient visibles jusqu'à des limites très avancées de l'univers visible.

-Dyson a alors calculé qu'en utilisant une masse de matière équivalente à celle de Jupiter, il est possible d'entourer notre Soleil d'une coque semi-solide, d'une épaisseur de 2 à 3 mètres, capable de piéger le rayonnement de notre étoile.
-A ce jour il n'y a toujours pas de théories qui pour expliquer le comportement étrange de cette étoile conclut Thabertha B.
-Alors l'hypothèse d'une structure extraterrestre fait rêver .Un tel dispositif servirait à une civilisation extraterrestre.
-Si aucun programme consacré à trouver d'hypothèques signaux extraterrestre n'a livré de résultats a ce jour, force est de constater qu'un nombre croissant d'objets volants non identifiés son signalés depuis les années 2000. Scott Bray directeur adjoint du renseignement pour la US Navy, devant le congrès américain, a préciser (prudemment) que rien ne pouvait suggérer une origine NON terrestre a ces phénomènes, sans l'exclure.

-Le département de la défense des Etas-Unis a donc lancé un nouveau programme pour recenser les phénomènes inexpliqués et identifier les "armes" expérimentales potentiellement par d'autres puissances.
-La Nasa lance une étude de grande ampleur pour étudier ces phénomènes INEXPLIQUES. En espérant que les signaux de (KIC 8462852)ne restent pas inexpliqués.

-La liste des hypothèses est longue, mais le mystère demeure. Lhypothèse dune présence extraterrestre est donc la plus intéressante, mais il est plus probable que l'on soit face à un phénomène astrophysique que les chercheurs ne savent pas encore expliquer

.Une sphère de Dyson est donc, pour nous, quelque chose d'inaccessible pour le moment. Il s'agit, comme pour les trous de ver, d'un objet hypothétique fascinant qui nourrit notre imaginaire.

-D'après l'échelle des civilisations de Nikolaï Kardashev  (astronome soviétique, né le 25 avril 1932 et décédé le 3 août 2019), elle serait l'outil d'une civilisation de type II, qui aurait ainsi accès à la totalité de l'énergie d'une étoile. Clément Vidal, philosophe des sciences et chercheur à l'Université Virje de Bruxelles, propose, dans son livre, de nommer ces civilisations des « starivores ». Elles se déplaceraient vers une autre étoile chaque fois que l'énergie de la précédente serait totalement épuisée. (**Voir l'article sur le site Pour la science.)
-Dyson a également connaissance des travaux de l'astronome russe Nikolaï Kardashev, qui a établi une classification des civilisations extraterrestres, selon l'usage qu'elles font de l'énergie disponible dans leurs environnements.

-Une civilisation de type 1, est capable d'utiliser toute l'énergie disponible sur sa planète d'origine (approximativement une puissance de 1,741017 Watts, soit l'équivalent de cent millions de réacteurs nucléaires comme l'EPR). Une civilisation de type II doit s'avérer capable de collecter toute l'énergie de son étoile centrale soit une puissance valant à peu près 1026 W. Une sphère de Dyson appartient donc au type II. Enfin, une civilisation de type III a à sa disposition toute l'énergie émise par la galaxie dans laquelle elle est située, soit près de 1036 W. S'appuyant sur cette échelle.

-Dyson a calculé qu'une société avec 1 % de croissance économique annuelle peut atteindre le type II en 2 500 ans, c'est-à-dire qu'elle est susceptible de puiser directement, et intégralement, son énergie de son étoile.

-Pour nous! ce n'est pas encore demain!-

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